Pas facile d’arriver à Marchastel, village calé sur les hauteurs de la vallée de La Grolle, tant les deux routes qui y mènent sont étroites et sinueuses ! Une fois là, un découvre un village paisible entouré de forêt, bon point de départ de rando…
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Au centre du village, l’église, avec son clocher-porche :
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Près de l’église, une petite stèle…
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Et pour manger et boire, il y a un bar-restaurant :
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Petite déco murale :
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On longe en hauteur la rivière La Grolle :
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On redescend pour franchir la Grolle :
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Dans ce lieu isolé, éloigné de toutes routes, pas facile de bien entretenir le matériel :
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Orchis mâles blanches :
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Le patchwork bicolore des toitures cantalienne…
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Avec l’application PeakFinder -ou autre du même type- on peut facilement connaître le nom des montagnes que l’on voit au loin :
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Pour elles, c’est le temps de la rumination :
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Et l’on arrive sur le plateau. Et qui dit « plat » dit stagnation de l’eau et donc une flore adaptée … là sont les tourbières !
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La renouée bistorte se plait dans ces terrains humides d’altitude :
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Et l’on arrive au passage à niveau, en l’occurence le n° 365 :
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Minute de nostalgie… Ici ne passe plus que le train touristique Gentiane Express
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A côté du passage à niveau, ue maisonnette abritait des relais électriques, qui devaient commander le fonctionnement des barièrres et des signaux lumineux. Cela date des débuts de l’électromécanique. L’usage de l’électronique a divisé par 1000 ou plus le volume des unités de traitements des signaux électriques et des contacteurs.
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Du plantain en fin de floraison :
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Une belle touffe de gaillet croisette, agrémenté de stellaire :
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Soudain, sur cette petite route extrêmement calme, arrive à ma rencontre un couple de grands-randonneurs : Bart et Virginie, accompagnés de leurs deux chiens : Par (ou quelque chose comme ça) et Noisette. Les maîtres sont très sympa et l’on a bien discuté et les chiens très gentils aussi et très disciplinés et qui portent leurs croquettes dans un petit sac à dos :
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Après sa très abondante floraison, ce pissenlit se flétrit et s’étale au sol :
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Plantain en fleur :
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Tout saut de l’eau qui -sur son parcours de la montagne à la mer- la fait bouillonner, contribue à l’oxygéner et la rend plus favorable à la vie végétale et animale…
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Et puis, retour au lieu de départ. Sur ce panorama, on voit bien comment le village est niché dans les collines, de façon isolée.
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